Étonnées de ne croiser
Que quelques branches éparses
D'un pays apprivoisé
Dites-lui qu'arrive enfin
Le retour des jours heureux
Où elle comblera la faim
Du soleil d'elle amoureux
Dites-lui que j'appréhende
La guitare de ses hanches
Jouant un air qui demande
Du passé une revanche
Un flamenco désolé
Chantant les promesses lasses
D'être crues, mêlant olé!
Fougueux et poignants hélas!
Vois-tu cette lueur pâle?
Ce n'est pas qu'un mars blafard
C'est l'espoir toujours loyal
Une sentinelle, un phare
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